Biographie

Né le 29 avril 1974


Guide de montagne diplômé depuis 2002.


Natif, originaire et habitant de Tavannes, en Suisse romande.


Très attaché au massif jurassien qui demeure un excellent terrain d'entraînement, aussi en hiver, pour parcourir les Alpes, voire le monde. Connaissances scolaires d'allemand et d'anglais.


Marié à Frédérique et père de Mathilde depuis 2006, que l'on peut découvrir çà et là dans certaines rubriques du site, et aussi père d'Arthur depuis 2008, un petit gars différent qui a quitté ce monde au printemps 2015.


Passionné de montagne depuis tout petit grâce à un environnement familial sportif.

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Mes occupations :

Assurer le bien-être de ma famille en faisant le père au foyer, en passant du temps avec ma femme et ma fille. Faire plaisir aux gens qui me demandent de les accompagner en exercant le métier de guide pour partager de nombreuses aventures dans différents endroits. 


En décembre 2017 sort mon premier livre: La montagne que personne ne voit, aux éditions Torticolis-et-frères, une nouvelle corde à mon arc, une nouvelle façon d'envisager le futur...


Mars 2022, sortie du second: Lâcher prise au Fitz Roy, autobiographie qui analyse certaines aventures vécues, avec les remises en question d'un quarantenaire.


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Mes relaxations :

Un peu las des « topo-thérapies », sauf quand il le faut vraiment, j’ai malgré tout des rêves qui traînent encore dans un coin du cerveau. Il suffit de se perdre dans les rubriques les plus récentes de ce site internet pour saisir de quoi je veux parler.


Habitant à Tavannes, dans une jolie maison avec un bout de terrain, au pied du Montoz, loin des foules, il y a toujours quelque chose à faire, en dehors bien sûr du gazon, de la lessive et du reste. Dès que possible je skie, je grimpe, j’ouvre des nouvelles voies et rafistole des anciennes; si je me force un peu je fais même du VTT, car la région est idéale pour pédaler. Bref, un joli coin de pays certes loin des lieux mythiques des Alpes, que l’on apprend à apprécier à sa juste valeur, car la qualité de vie est plutôt bonne.


Pour le reste, mes moments « chill » sont, grâce à une bibliothèque bien fournie, accompagnés la plupart du temps par de bonnes lectures allant de « Montagnes d’une vie » de Walter Bonatti aux biographies des artistes engagés des années 70. J’en ai suivi certains et je continue à le faire, les « Floyds » en particulier. J’ai assisté 12 fois à des concerts des membres de ce groupe, sous différentes versions, du stade de la Pontaise en 1989 et en 1994, en passant par le stade Saint Jacques, Bercy, la saline d' Arc et Senans, la salle KKL de Lucerne, le Letzigrund ou maintes fois le Hallenstadion, la dernière fois en 2023, avec un visuel qui ne peut laisser personne indifférent, ça me fait toujours dresser les poils tant ça sonne vrai, un immense merci pour ces grands moments de partage !!. Oui je sais, je fais un peu mon François Pignon, comme tout le monde en fait, mais c’est ainsi, il faut bien se réjouir de quelque chose sinon la vie perd de son sens. Même si cela ne la rend pas plus drôle, elle m’est plus supportable grâce à des gens comme lui. Pourtant. même si mes idées sont bien là, je laisse la politique à ceux qui savent en parler, mais je n’oublie jamais d’aller exercer mes droits de citoyens, puisque chez nous c'est autorisé.


Bref, je ne rate pas une occasion de passer un moment avec ceux qui m'ont enseigné la vie : que ce soit Pink Floyd (ici en version ancienne), Renaud, Hubert-Félix Thiéfaine (ici dans un bon mélange explosif), TéléphoneNoir désir (ceux avec qui l’on ressortait d’un concert avec des bleus et le T-shirt détrempé) ; sans oublier ces piliers du rock que sont les les ballons dirigeables plombés, dont je regrette de n’avoir assisté qu’à un seul de leurs shows, aux Eurockéennes en 1995. J'en citerais volontiers plein d'autres, mais on va s'arrêter là.
Passons, la nostalgie ne sera ici d'aucun secours. A bientôt 50 ans (euuh pas tout à fait encore…), je ne voudrais pas passer pour un vieil aigri, la vie continue, ici et maintenant, même si "the child is grown, the dream is gone" , on se reprend, on respire un coup et on y fout, toujours plus loin, à fond la caisse et toujours toujours plus d’ivresse, ne jamais perdre la flamme, si possible, sinon, lentement mais sûrement , on s'éteint...


Mai 2023